Il existe trois types d’impression sur le marché, pour traiter des ouvrages à l’intérieur d’un logement. L’impression acrylique est la plus largement diffusée, elle sèche vite et l’odeur est fugace. Elle est facile d’application, diluable à l’eau et reste la plus adaptée lorsque le support ne présente aucune problématique particulière.
Ensuite, nous avons l’impression alkyde qui utilise des résines mixtes, c’est-à-dire acrylique et glycérophtalique tout en étant en phase aqueuse (diluable à l’eau). Elle présente l’avantage d’offrir un film de peinture plus résistant que l’acrylique, son application est également aisée et l’odeur est fugace.
On termine avec l’impression en phase solvanté (dilution avec un solvant de type white-spirit) disposant de résines glycérophtaliques. Ce type d’impression présente l’avantage de pouvoir traiter des fonds douteux ou très hétérogènes (matériaux différents, résidus de colle à papier peint suspectés…) pour repartir sur une base de travail saine. L’application est un peu plus technique, le produit sentant particulièrement fort (masque anti-gaz fortement recommandé lors de l’application).
Ces différentes impressions permettent de traiter des problématiques qui peuvent parfois, leurs être propres.
A ce titre, si on souhaite obtenir un résultat très satisfaisant et une application qualitative, le choix du manchon à peindre a donc toute son importance.
Je vous ai préparé un tableau, basé sur mon expérience professionnelle.